Autre magnifique contribution au développement artistique, voici une possible modernisation architecturale de la pyramide du Louvre, ou tout à fait autre chose, l'interprétation est plus que libre.
[Apprendre en s'amusant.]
t0in0u
Trois fois rien.
Samedi 20 février 2010 à 15:35
Les cours après une courte nuit tournent souvent à la catastrophe personnelle. Mais quand on a de la chance, un prof demande de se mettre par trois ou quatre pour réfléchir au fonctionnement possible d'un lyophilisateur, chose que tout le monde ignorait. Par magie la réflexion s'est un peu éternisée et du coup, on se retrouve avec un stylo et une feuille devant soi. La distraction commence par un mouton à bec de canard qui observe une souris assez peu courante dans son univers.
Autre magnifique contribution au développement artistique, voici une possible modernisation architecturale de la pyramide du Louvre, ou tout à fait autre chose, l'interprétation est plus que libre.
[Apprendre en s'amusant.]
Autre magnifique contribution au développement artistique, voici une possible modernisation architecturale de la pyramide du Louvre, ou tout à fait autre chose, l'interprétation est plus que libre.
[Apprendre en s'amusant.]
Vendredi 19 février 2010 à 18:59
J'ai vingt-deux ans depuis une semaine, la neige n'envahit plus ma colline lorraine et j'ai potentiellement un stage dans un labo du C.N.R.S sur ladite colline. Réponse à suivre, au plus tard mercredi d'après ce cher monsieur au demeurant fort sympathique. Et même si de Nancy y'a vachement plus de distance que d'Albi pour aller à Toulouse, j'irai peut-être y faire un tour au printemps, pour voir si la ville est si rose qu'on le dit. Ca c'est l'idée du moment, peut-être qu'elle passera à la trappe dans trois jours, j'en sais foutrement rien mais là, je suis en vacances alors faut pas trop en demander.
J'vais d'ailleurs essayer de me réconcilier avec Morphée, parce qu'avec les J.O et probablement un peu de l'entretien d'hier, il me fait sacrément la gueule ces derniers temps. C'est pas comme si j'avais "loupé" la moitié de mon temps de cours cette semaine, mais en fait, c'est ça. Et évidemment, c'est pas parce que je suis malade, ça serait trop facile.
Vacances, vacances. Soleil. Chaleur. Tout ça. Le pied quoi. Mais faut pas oublier qu'on est en février et que je peux allégrement faire une croix sur mon mois de juillet. En même temps, en un mois on peut faire pas mal de choses dans les Balkans et ailleurs.
Ajoutons à ces perspectives d'avenir entrainantes une charmante suite de concerts qui commence samedi prochain. Je viens de jeter un oeil à la prog' des Artefacts et c'est un peu la preuve qu'on peut pas avoir la meilleure prog' de tous les temps chaque année. Pour revoir les punks espagnols faudra aller chez Michel, dans son jardin. C'pas l'même prix mais vu la prog' des deux premiers jours, ça vaut le coup, m'est avis. Et puis si jamais Albi veut bien de moi et que j'ai pas d'autres portes de sortie, un p'tit tour au Garorock pour féter la crucifixion devrait pas être désagréable.
[Là où on va on est chez nous !]
J'vais d'ailleurs essayer de me réconcilier avec Morphée, parce qu'avec les J.O et probablement un peu de l'entretien d'hier, il me fait sacrément la gueule ces derniers temps. C'est pas comme si j'avais "loupé" la moitié de mon temps de cours cette semaine, mais en fait, c'est ça. Et évidemment, c'est pas parce que je suis malade, ça serait trop facile.
Vacances, vacances. Soleil. Chaleur. Tout ça. Le pied quoi. Mais faut pas oublier qu'on est en février et que je peux allégrement faire une croix sur mon mois de juillet. En même temps, en un mois on peut faire pas mal de choses dans les Balkans et ailleurs.
Ajoutons à ces perspectives d'avenir entrainantes une charmante suite de concerts qui commence samedi prochain. Je viens de jeter un oeil à la prog' des Artefacts et c'est un peu la preuve qu'on peut pas avoir la meilleure prog' de tous les temps chaque année. Pour revoir les punks espagnols faudra aller chez Michel, dans son jardin. C'pas l'même prix mais vu la prog' des deux premiers jours, ça vaut le coup, m'est avis. Et puis si jamais Albi veut bien de moi et que j'ai pas d'autres portes de sortie, un p'tit tour au Garorock pour féter la crucifixion devrait pas être désagréable.
[Là où on va on est chez nous !]
Lundi 1er février 2010 à 21:24
Prise en descendant de ma colline ce matin, entre deux glissades évitées.
[Parce que c'est beau, la neige.]
Samedi 30 janvier 2010 à 22:39
Voila bientôt deux heures que j'essaye de remplir cette page avec des mots qui puissent avoir une cohérence et résumer ce qui se passe là dedans. J'ai essayé toute la semaine mais le constat est toujours le même. De toute évidence il est trop tôt.
[T'en fais pas mon ptit loup, c'est la vie, ne pleure pas...]
[T'en fais pas mon ptit loup, c'est la vie, ne pleure pas...]
Samedi 23 janvier 2010 à 11:20
Marcher sans savoir où on va, quand c'est la grande forme, c'est plutôt appréciable et même carrément jouissif. Quand c'est pas le cas, ça devient angoissant à souhaits. Alors on se prend à postuler pour un stage dans le massif-central, dont le sujet a l'air aussi passionnant que l'observation des mouches au mois de janvier. Mais être logé et payé pendant quatre mois, dans un bled qui compte moins d'habitants que la boîte de salariés, ça me titille sévèrement.
Et je me vois, dans un peu moins d'un an et demi, jouer du didgeridoo au pied de l'Ayers Rock, le sac encore sur le dos et la tronche pleine de poussière. Donne-moi du rêve. Du rêve réalisable. Celui-là, il l'est. Alors, ça serait dommage de pas y penser beaucoup, de pas s'en servir comme un point de repère, même si c'est loin, ça fait un but. Un truc qui te pousse au cul. Et j'aimerais y aller avec celle qui m'a déja accompagné en Croatie, et qui fait de ma vie ce qu'elle est aujourd'hui. Parce qu'on a cette chance d'avoir les mêmes rêves et, en quelque sorte, les mêmes étoiles pour nous guider.
[Parcourir le monde et voir ce que la vie propose.]
Et je me vois, dans un peu moins d'un an et demi, jouer du didgeridoo au pied de l'Ayers Rock, le sac encore sur le dos et la tronche pleine de poussière. Donne-moi du rêve. Du rêve réalisable. Celui-là, il l'est. Alors, ça serait dommage de pas y penser beaucoup, de pas s'en servir comme un point de repère, même si c'est loin, ça fait un but. Un truc qui te pousse au cul. Et j'aimerais y aller avec celle qui m'a déja accompagné en Croatie, et qui fait de ma vie ce qu'elle est aujourd'hui. Parce qu'on a cette chance d'avoir les mêmes rêves et, en quelque sorte, les mêmes étoiles pour nous guider.
[Parcourir le monde et voir ce que la vie propose.]