Mardi 3 février 2009 à 23:38

     Il a fallu que je fasse le tri dans mes mails pour découvrir que quelqu'un avait laissé un commentaire sur une vidéo que j'ai postée sur Youtube y'a un an. La vidéo elle, en a deux bien tassés, voire même bientôt trois. C'était le Metiz'Art d'une autre époque, celle d'une programmation plus que bonne.          
     C'était l'époque où on chantait "Rue Grenelle" comme des casseroles tout en ignorant que le maire de Neuilly dont il est question dans les paroles ne nous ferait plus sourire, quelques années après.

     C'est là que j'me dis que le temps passe trop vite, que j'ai pas fait assez de trucs comme ça, que je sais pas si j'aurai l'occasion d'en faire des aussi mouvementés et surtout que ça me fout le bourdon, tout ça. Je le vois encore danser devant la PK avec son parapluie de la communauté de communes du Val-de-Fensh à la main. Mon dieu, il fallait voir ça !

     Il fallait voir aussi le lendemain et 450 km plus à l'ouest, Karpatt traversant une ville sur un char et les Motivés chantant le Chant de partisans. Ca c'était du putain de week-end, mec !

[J'me laisserais même pousser les ch'veux, j'aurais même l'air amoureux.]

Mardi 9 septembre 2008 à 11:07

     Mais oui, rappelez-vous, il y a un an, à quelques heures près, apparaissait sur la toile cet endroit qui est ce qu'il est et qui vaut ce qu'il vaut, où j'allais décharger quelques pensées vagabondes, au coin du bois. Pas comme on se sépare d'un objet encombrant mais plutôt comme on engage une conversation, avec soi-même la plupart du temps, mais ça c'n'est qu'un détail !

     Tout ça pour dire que mes conversations virtuelles avec moi-même soufflent leur première bougie et qu'elles se portent bien, voyez par vous-même ou bien allez courir le 100 mètres en six secondes, peu importe !

[L'eusses-tu cru ?]

Vendredi 22 février 2008 à 19:21

    Ca vous tombe dessus comme ça, comme un astéroïde lancé à pleine vitesse dans l'atmosphère. L'impact est rude, ça remue pas mal de poussières même si la taille du projectile est assez réduite. Et puis les poussières, soumises à leur poids retombent finalement et tout redevient comme avant, sauf que, maintenant, y'a un caillou plus gros que les autres.

    Forcément, un caillou comme ça, ça passe difficilement. Ca fait mal aux fesses, un peu. Enfin, c'est au coeur que les dégats se font ressentir, surtout.

    En même temps, si le p'tit gars il s'était pas écouté La déclaration de ceux qui jouent Debout sur le Zinc, ptete qu'il en serait pas là ! C'est d'sa faute tout ça !

    Tout ça pour dire qu'une certaine ambiance et une certaine idée de la vie, que j'avais y'a encore pas si longtemps, y'a un an et demi en fait, m'est revenue dans les pattes.  Ca m'manque un peu. Enfin, pas qu'un peu apparemment.

[Et là j'me sens con. Très con même.]

Dimanche 13 janvier 2008 à 22:27

    Les séries de Fourier, quel bonheur ! Mais, vendredi prochain, j'me souviendrai que quand la fonction est paire on mange les Bn parce que c'est bon, et que du coup, ben ils sont plus là. Et puis, faut pas oublier que pour échantillonner un signal, il faut passer, dans le sens du poil, le peigne emprunté à ce cher monsieur Dirac.

    Y'a encore du boulot, mais j'ai la semaine pour travailler tout ça et mettre le paquet pour avoir un quelconque espoir de valider ce troisième semestre bien mal embarqué. Wouhou !

[Apprendre en s'amusant.]

Jeudi 13 décembre 2007 à 22:55

    J'crois que je viens de me lancer dans une nouvelle série, le "C'est con un..." ! Un filon à exploiter jusqu'au bout, tant que c'est productif ! Tout ça pour pour dire qu'un amphi à moitié vide bercé par des généralités et des banalités sur des capteurs d'instrumentation c'est marrant à observer.

    Y'a d'abord ceux qui écrivent tout ce que le prof dit. Ils ont la tête baissée, comme s'ils allaient écrire plus vite dans cette position.
    Y'en a d'autres qui ont la tête baissée, ceux là n'ont pas de stylo dans leur main, mais juste la tête dans les bras, en pleine fin de nuit.
    A l'opposé y'a ceux qui essayent tant bien que mal de rester éveillés et qui baillent aux corneilles toutes les cinq minutes.
    Le reste de la promo, quant à lui, essaye de résister au talent soporifique du prof et s'amuse ou même pouffe de rire à chaque mimique étrange de l'être qui parle, un peu plus bas, devant le tableau. Et c'est que ce bonhomme n'est pas avare en mimiques en tous genres, ce qui rend ses cours agréables, même quand ils sont chiants à mourir.

    Et puis, il y a Frida, qu'est belle comme un soleil... Ouais, on va l'appeler Frida, comme dans la chanson. Parce que c'est vrai qu'elle est belle comme un soleil. Comme un soleil en amande même.

    On en revient toujours à la même chose, et pourtant j'ai l'impression qu'il y a un truc qui ne tourne pas rond.

[Chez ces gens là, on ne pense pas, monsieur, on ne pense pas !]

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