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Trois fois rien.
Lundi 28 juillet 2008 à 21:37
Ici on rêve d'Espagne, ou plus précisément de Catalogne. On rêve de tas d'autres choses aussi, mais là, c'qui m'intéresse le plus c'est ça. Une semaine de vacances, tous les deux, loin mais pas trop, mais ailleurs ! Et c'est ça qui compte.
Cette perspective me donne l'envie de chanter l'Estaca, debout sur une table ! No conoces l'Estaca ? Pardon, j'essaye de me refamilliariser avec la langue de Cervantés, alors, forcément, y'a quelques dérapages des fois. Bref L'Estaca, c'est quoi ? C'est ça, chanté par Zebda et le public de l'Apolo à Barcelone. Au passage, je dois avouer qu'entendre la foule chanter comme un seul homme me donne toujours autant de frissons !
Comme promis, quelques nouvelles de mes lunettes flashy top-moumoute : elles vont très bien et l'air de la Moselle a l'air de leur faire le plus grand bien ! Et à moi aussi, donc ça tombe plutôt bien !
Cette perspective me donne l'envie de chanter l'Estaca, debout sur une table ! No conoces l'Estaca ? Pardon, j'essaye de me refamilliariser avec la langue de Cervantés, alors, forcément, y'a quelques dérapages des fois. Bref L'Estaca, c'est quoi ? C'est ça, chanté par Zebda et le public de l'Apolo à Barcelone. Au passage, je dois avouer qu'entendre la foule chanter comme un seul homme me donne toujours autant de frissons !
Comme promis, quelques nouvelles de mes lunettes flashy top-moumoute : elles vont très bien et l'air de la Moselle a l'air de leur faire le plus grand bien ! Et à moi aussi, donc ça tombe plutôt bien !
[ Lalalala, lala, lala...]
Jeudi 24 juillet 2008 à 0:14
Ca doit faire pas loin de deux heures que j'écoute pour la n-ième fois les deux albums de Samarabalouf que j'ai en ma possession [en réalité j'en ai trois, mais l'autre c'est un live avec Arnaud Van Lancker, un mec qui manie plutôt bien l'instrument pour les cons qu'est l'accordéon !]. C'est fou à quel point c'est calme tout en étant très sonore, ça a l'air improvisé tout en étant cadré et ça a ce parfum d'ailleurs que seule la musique manouche a. Vivement mercredi soir que je puisse réver d'un monde meilleur tout en écoutant ces amiénois jouer avec leurs guitares et leur contrebasse à quelques mètres de mes oreilles et de mes yeux.
J'ai pas grand chose à dire qui ne ressemble aux articles d'avant alors ça sera assez court, mais j'tenais à préciser que la phrase qui sert de conclusion au précédent article est la ritournelle que Philippe Meyer utilisait pour clore sa chronique matinale sur France Inter à une époque qui se situe au milieu des années 90. J'me suis dit que ça l'ferait pas si j'disais pas que c'était de lui alors que cette phrase a rythmé mes matins pendant quelques années, mais voila qui est fait !
Ah si, voila quelque chose dont je ne suis pas peu fier : ma réponse assez sarcastique au courrier de Boehringer du 10 juillet [voir article précédent pour ceux qui suivent pas !]. Cette réponse disait quelle joie je me ferais de participer à l'amélioration de la machine à remonter de le temps si Boehringer, par un quelconque acte magique, été impliqué dans sa conception ! "Keep on smiling" disait Melle-Renaclérican en commentaire dudit article, et je crois qu'elle avait raison, héhéhé !
Demain je mets les voiles vers l'est, histoire de faire coucou à mes lunettes de soleil flashy que j'ai laissées entre de très bonnes mains, quelque part à Montigny-lès-Metz. D'ailleurs, je vais passer plusieurs jours avec elles et surtout avec la personne qui les garde. Je vous donnerai de leurs nouvelles dès mon retour, pas d'inquiètudes là dessus !
J'ai pas grand chose à dire qui ne ressemble aux articles d'avant alors ça sera assez court, mais j'tenais à préciser que la phrase qui sert de conclusion au précédent article est la ritournelle que Philippe Meyer utilisait pour clore sa chronique matinale sur France Inter à une époque qui se situe au milieu des années 90. J'me suis dit que ça l'ferait pas si j'disais pas que c'était de lui alors que cette phrase a rythmé mes matins pendant quelques années, mais voila qui est fait !
Ah si, voila quelque chose dont je ne suis pas peu fier : ma réponse assez sarcastique au courrier de Boehringer du 10 juillet [voir article précédent pour ceux qui suivent pas !]. Cette réponse disait quelle joie je me ferais de participer à l'amélioration de la machine à remonter de le temps si Boehringer, par un quelconque acte magique, été impliqué dans sa conception ! "Keep on smiling" disait Melle-Renaclérican en commentaire dudit article, et je crois qu'elle avait raison, héhéhé !
Demain je mets les voiles vers l'est, histoire de faire coucou à mes lunettes de soleil flashy que j'ai laissées entre de très bonnes mains, quelque part à Montigny-lès-Metz. D'ailleurs, je vais passer plusieurs jours avec elles et surtout avec la personne qui les garde. Je vous donnerai de leurs nouvelles dès mon retour, pas d'inquiètudes là dessus !
[C'est la vie !]
Dimanche 20 juillet 2008 à 9:38
Il y a des choses qui se révèlent particulièrement drôles quand elles sont prises au second degré. En voici deux, cumulées en à peine une semaine.
Pour mon avenir estudiantin, j'avais pensé à la licence professionnelle INTRAPOL, histoire de continuer un peu dans le merveilleux monde de la chimie. J'ai donc postulé et rempli un dossier pour avoir une chance d'y entrer. Après moultes délibérations de jurys et autres joyeusetés, je reçois un courrier qui me dit que je suis sur liste d'attente. Fabuleux ! J'appelle l'IUT pour savoir où je me situe dans cette fameuse liste et là on me répond que si c'n'est pas indiqué sur le courrier c'est qu'il n'y a pas de classement ! Une liste d'attente sans classement, on aura tout vu ! Il me reste donc à attendre, peut-être un jour, une nouvelle heureuse.
Pour gagner quelques sous cet été, j'ai envoyé une lettre à Boehringer Ingelheim France, une grosse boîte de l'industrie pharmaceutique. Donc, un truc où on rigole pas ! J'ai reçu un courrier daté du 10 juillet 2008 m'indiquant que les "possibilités d'accueil ne seront précisément définies que vers le mois de mai 2007". J'ai dû relire le truc deux ou trois fois avant d'être certain que j'avais bien lu. Mais je n'avais pas révé ! Apparemment, ils ont l'humour facile chez Boehringer ! Dommage, j'aurais bien voulu participer à la blague pour en rire autrement qu'en devenant jaune.
Pour mon avenir estudiantin, j'avais pensé à la licence professionnelle INTRAPOL, histoire de continuer un peu dans le merveilleux monde de la chimie. J'ai donc postulé et rempli un dossier pour avoir une chance d'y entrer. Après moultes délibérations de jurys et autres joyeusetés, je reçois un courrier qui me dit que je suis sur liste d'attente. Fabuleux ! J'appelle l'IUT pour savoir où je me situe dans cette fameuse liste et là on me répond que si c'n'est pas indiqué sur le courrier c'est qu'il n'y a pas de classement ! Une liste d'attente sans classement, on aura tout vu ! Il me reste donc à attendre, peut-être un jour, une nouvelle heureuse.
Pour gagner quelques sous cet été, j'ai envoyé une lettre à Boehringer Ingelheim France, une grosse boîte de l'industrie pharmaceutique. Donc, un truc où on rigole pas ! J'ai reçu un courrier daté du 10 juillet 2008 m'indiquant que les "possibilités d'accueil ne seront précisément définies que vers le mois de mai 2007". J'ai dû relire le truc deux ou trois fois avant d'être certain que j'avais bien lu. Mais je n'avais pas révé ! Apparemment, ils ont l'humour facile chez Boehringer ! Dommage, j'aurais bien voulu participer à la blague pour en rire autrement qu'en devenant jaune.
[Nous vivons une époque formidable, demain sera un jour meilleur.]
Jeudi 17 juillet 2008 à 20:38
Un an que j'avais pas mis les pieds à Paris. Maintenant ça fait trois jours, héhéhé.
Voyez-vous, nous avons appris à devenir libres entre le pont d'Amélie Poulain et l'Hôtel du Nord ! Et c'n'est qu'une partie de l'ensemble qui a fait de ce week-end un moment merveilleux. Entre temps, on avait fait un détour par la savane africaine, celle qui sert de décor aux tribulations des célèbres Timon et Pumba, entre autres.
Et puis une autre pour satisfaire mon ego et aussi parce qu'elle est méga-classe, tout comme la personne qui l'a prise.
Voyez-vous, nous avons appris à devenir libres entre le pont d'Amélie Poulain et l'Hôtel du Nord ! Et c'n'est qu'une partie de l'ensemble qui a fait de ce week-end un moment merveilleux. Entre temps, on avait fait un détour par la savane africaine, celle qui sert de décor aux tribulations des célèbres Timon et Pumba, entre autres.
Une petite photo pour la route. Et puis même deux, tiens !
Et puis une autre pour satisfaire mon ego et aussi parce qu'elle est méga-classe, tout comme la personne qui l'a prise.
On s'arrète là pour les photos de famille et autres photos en tous genres. De toute façon y'a pas besoin de ça pour dire que j'ai passé un putain de week-end !
[Dans une rue de Paname, errant au bord de l'eau...]