[Dans ton cul la balayette !]
Lundi 26 avril 2010 à 21:05
Comme une envie de tout claquer. Claquer toutes ses portes. De toutes façons, quand elles sont déja fermées c'est encore plus facile que d'enfoncer des portes ouvertes ! J'en ai marre de ne rien foutre de ces putains de journées, mis à part chercher après un hypothétique stage qui ne viendra sans doute jamais.
[Dans ton cul la balayette !]
[Dans ton cul la balayette !]
Dimanche 4 avril 2010 à 22:17
Là, j'aurais besoin d'un concert de ska où tout l'monde saute sur son voisin sans se préoccuper de ses pieds et transpirer un maximum, j'aurais besoin d'un concert où un accordéon endiablé ferait virevolter tout l'monde, j'aurais besoin d'un concert calme, parfois moins calme, où on aurait juste à fermer les yeux pour voyager.
Voyager. Je rêve de collines vertes et boisées sous un soleil de plomb d'été européen continental. Une langue encore inconnue qui vient jusqu'à mes oreilles. Et puis, peut-être pas une vue splendide comme on a déja connu, mais quelque chose qui pourrait être tout aussi beau, subjectivement. Un peu de galère pour jalonner le chemin, mais pas trop. Un peu de vent, quand même, entre les montagnes et les feuilles des arbres. Un ours brun qui pointe son nez derrière un tronc.
Voyager. Je rêve de collines vertes et boisées sous un soleil de plomb d'été européen continental. Une langue encore inconnue qui vient jusqu'à mes oreilles. Et puis, peut-être pas une vue splendide comme on a déja connu, mais quelque chose qui pourrait être tout aussi beau, subjectivement. Un peu de galère pour jalonner le chemin, mais pas trop. Un peu de vent, quand même, entre les montagnes et les feuilles des arbres. Un ours brun qui pointe son nez derrière un tronc.
Samedi 3 avril 2010 à 22:08
Une semaine ou presque à rien foutre, en d'autres circonstances, j'aurais pas dit non. Quand tout l'monde se targue de ne rien foutre en touchant allégrement ses 400 billes minimum par mois, ça l'fait moins. Surtout que toi, pour ne rien foutre tu touches pas une bille.
Donc, pour mon avenir, je pense investir dans un ou deux pains de Semtex, bidouiller un circuit imprimé à la noix et aller coller tout ça sur un bâtiment d'un grand nom de l'industrie pharmaceutique encore à définir. Le tout accompagné d'un joli mot du style "Prenez-moi en stage sinon vous allez vous retrouver en orbite autour de la Terre, façon puzzle.". Quoique pour certains on pourrait aussi faire sauter les actionnaires, mais bon, c'est un autre débat. Et puis ça risque de coûter cher en explosifs. Et faire du T.N.T dans une casserole c'est déconseillé, quand on tient à sa vie.
Mais bon, on peut toujours tenter de synthétiser dans une cave le L.S.D du XXIème siècle, vendre les brevets la peau du cul à Bayer et s'en foutre totalement. On peut aussi essayer de rêver et donc penser à la Bosnie et à l'Australie qui nous filent doucement sous le nez. Pensée négative. Pas bon. La haine mène du côté obscur de la force, a dit Yoda.
Tout n'est pas perdu, pour les prochains mois, je peux potentiellement atterrir à Agen, Annonay, Jonchery-sur-Vesle ou Forbach. Et peut-être Champigneulles, vu que je me vante, pour reprendre la métaphore, d'avoir la boule à zéro pour un boulot qui nécessite d'avoir le moins de cheveux possibles sur le caillou {cf. article précédent}. Au point où j'en suis, hein, on peut tenter le tout pour le tout.
Donc, pour mon avenir, je pense investir dans un ou deux pains de Semtex, bidouiller un circuit imprimé à la noix et aller coller tout ça sur un bâtiment d'un grand nom de l'industrie pharmaceutique encore à définir. Le tout accompagné d'un joli mot du style "Prenez-moi en stage sinon vous allez vous retrouver en orbite autour de la Terre, façon puzzle.". Quoique pour certains on pourrait aussi faire sauter les actionnaires, mais bon, c'est un autre débat. Et puis ça risque de coûter cher en explosifs. Et faire du T.N.T dans une casserole c'est déconseillé, quand on tient à sa vie.
Mais bon, on peut toujours tenter de synthétiser dans une cave le L.S.D du XXIème siècle, vendre les brevets la peau du cul à Bayer et s'en foutre totalement. On peut aussi essayer de rêver et donc penser à la Bosnie et à l'Australie qui nous filent doucement sous le nez. Pensée négative. Pas bon. La haine mène du côté obscur de la force, a dit Yoda.
Tout n'est pas perdu, pour les prochains mois, je peux potentiellement atterrir à Agen, Annonay, Jonchery-sur-Vesle ou Forbach. Et peut-être Champigneulles, vu que je me vante, pour reprendre la métaphore, d'avoir la boule à zéro pour un boulot qui nécessite d'avoir le moins de cheveux possibles sur le caillou {cf. article précédent}. Au point où j'en suis, hein, on peut tenter le tout pour le tout.
[Monsieur, veuillez recevoir mes salutations révolutionnaires.]