Voyage. Train. Rapide. Trop. Bonheur éphémère. Retour. Rapide. Rétrospective. Ratage. Trou noir.
Lundi 26 novembre 2007 à 19:04
Vendredi 23 novembre 2007 à 23:27
Juste parce que je viens de retrouver cette photo sur mon PC, et que même un an et demi après, ce que j'ai écrit me donne toujours autant le sourire. Il en faut peu pour être heureux. Et c'est Baloo qui le dit !
Dimanche 21 octobre 2007 à 0:20
Ah non, ça c'est sûr, je n'sais pas où j'vais. Mais j'y vais, droit dedans et ça m'plait. Et, pour paraphraser les paroles d'un groupe de chanson française tellement connu qu'il n'est pas nécessaire d'en mentionner le nom, eh ben...à vouloir faire une phrase à rallonge j'en oublie mes mots ! Merde alors ! C'est encore le faute de la voix de Syd Barrett ça !
Bref, ne nous emportons pas dans des considérations musicales sinon la nuit va être courte et c'est pas comme ça que j'vais récupérer mon déficit d'heures de sommeil accumulé ces dernières semaines./
Donc, où j'en étais ? Ah ouais, les paroles de c'te foutue chanson qui n'ont jamais autant pris leur sens pour moi. Non, putain ducon, pas de phrases à rallonge on a dit ! Mille excuses. Je vous fait des bisous doux.
[Je n'sais pas où je vais, oh ça je n'l'ai jamais bien su. Mais si jamais je le savais je crois bien que je n'irais plus.]
Bref, ne nous emportons pas dans des considérations musicales sinon la nuit va être courte et c'est pas comme ça que j'vais récupérer mon déficit d'heures de sommeil accumulé ces dernières semaines./
Donc, où j'en étais ? Ah ouais, les paroles de c'te foutue chanson qui n'ont jamais autant pris leur sens pour moi. Non, putain ducon, pas de phrases à rallonge on a dit ! Mille excuses. Je vous fait des bisous doux.
[Je n'sais pas où je vais, oh ça je n'l'ai jamais bien su. Mais si jamais je le savais je crois bien que je n'irais plus.]
Mardi 2 octobre 2007 à 20:44
On efface tout, on recommence. Ou presque. On se contentera d'oublier. Comme d'hab' quoi. Oublier la plupart des trucs qui ont été écrits précédemment mais ne jamais effacer. Garder une trace. Toujours.
Sinon, mini-sieste avec le son des Manipulators sortant directement des enceintes de ma chaine. Y'a pas, le dub c'est bandant ! Fausse-sieste en fait, mais mon esprit a beaucoup voyagé pendant c'te vingtaine de minutes, c'était assez comique. Restrospective week-endesque, associations d'idées en tous genres, j'en passe et des meilleurs... C'est un blog, pas une ouverture sur mes pensées, bordel de merde !
Qui a dit que c'était la même chose ?
Toi, le p'tit au fond, tu prends la porte !
Et tu la ramènes dans une demie heure.
Merci
C'est vrai qu'on s'en bat passablement les testicules, mais tout d'même. J'suis dans un état lamentable, j'ai séché deux aprem' de cours depuis le début de la semaine [oui, on est mardi !] et c'est la fête du slip. Vivement qu'on avance un peu dans octobre tiens ! La solitude, les soirées interminables et autres trucs du même genre dont il ne faut pas abuser quand on a entre trente-cinq et quarante heures de cours dans la semaine mais dont j'abuserai quand même, à n'en point douter.
Sinon, mini-sieste avec le son des Manipulators sortant directement des enceintes de ma chaine. Y'a pas, le dub c'est bandant ! Fausse-sieste en fait, mais mon esprit a beaucoup voyagé pendant c'te vingtaine de minutes, c'était assez comique. Restrospective week-endesque, associations d'idées en tous genres, j'en passe et des meilleurs... C'est un blog, pas une ouverture sur mes pensées, bordel de merde !
Qui a dit que c'était la même chose ?
Toi, le p'tit au fond, tu prends la porte !
Et tu la ramènes dans une demie heure.
Merci
C'est vrai qu'on s'en bat passablement les testicules, mais tout d'même. J'suis dans un état lamentable, j'ai séché deux aprem' de cours depuis le début de la semaine [oui, on est mardi !] et c'est la fête du slip. Vivement qu'on avance un peu dans octobre tiens ! La solitude, les soirées interminables et autres trucs du même genre dont il ne faut pas abuser quand on a entre trente-cinq et quarante heures de cours dans la semaine mais dont j'abuserai quand même, à n'en point douter.
[Turbo-mega-lol !]
Dimanche 16 septembre 2007 à 1:47
Tiens, voila ! Il est une heure du mat' passée, j'ai les basses d'High Tone en fond pour commencer cette nuit ou finir la journée, au choix. Bref, j'suis là, et j'me dis "Tiens, si j'rajoutais un p'tit article à la con.". L'idée n'est pas si mauvaise en soi, mais bon, v'voyez, devant la peur de la page blanche, le mec qui veut dire quelque chose mais qui sait pas par où commencer ni s'il a vraiment envie de dire tout ça, eh ben ce mec il va faire sponsoriser son article par Ikea. Entendez par là qu'il meuble.
Et en plus il s'en sort pas si mal, pour le moment.
Bref, ce p'tit mec là, du haut de son mètre soixante dix passé, il aurait envie de raconter une histoire à tout un tas de gens qu'il ne connaît pas, à un tas d'inconnus, comme ça. S'il avait du courage et un peu d'énergie il irait s'acheter une bouteille de vin dégueulâââsse et irait la partager avec un clodo, histoire de passer la nuit dans les rues de la ville des Sacres.
Mais bon, il reste là, le couillon !
Là et las, aussi. C'est l'ubiquité mais en différent. Il se perd dans ses mots aussi, et ça, ça va pas lui réussir ! Et puis, il hésite, il fait son p'tit timide, sa p'tite pudeur lui revient un peu au nez, comme si elle voulait lui rappeler qu'elle est là. Ce p'tit mec là, il se dit aussi qu'il a déja écrit un truc sur la jeune fille aux mains ridées et il se dit que ça serait un peu redondant d'écrire une nouvelle fois.
Mais il se laisse guider par ses sens. Et, entre vous et moi, j'pense qu'il a raison.
Ce p'tit mec se dit qu'il ferait mieux de passer outre ses souvenirs estivaux pour se jeter à pieds joints dans l'avenir, prometteur. Il se dit que ça serait bien. Mais comme il a un peu un comportement gouvernemental [comprenez "Un pas en avant, deux pas en arrière", pour ceux qui n'suivent pas], eh ben ce p'tit con il reste un peu sur place. En s'disant que ptete que la jeune fille aux mains ridées reviendra vers lui, bientôt.
A c'qu'il parait elle reviendrait pour les vacances de la Toussaint. Chouette ! M'enfin c'est loin. Roh, ta gueule toi ! Le p'tit mec, il aimerait bien qu'elle revienne. Il n'attend que ça même. Mais qu'elle revienne de où ? Ah ben oui, j'vous ai pas dit ! Vu qu'il aime bien se compliquer la vie ce p'tit mec, il a fallu qu'il tombe raide dingue d'une fille qui, en plus d'habiter à 600 bornes de chez lui, habite chez son copain ! Deubeul problem' aurait dit un anglais. Eh oui, un seul c'était pas suffisant !
C'est ça qu'est à la fois bien et moche avec la foudre, c'est qu'on peut jamais trop savoir à l'avance ni quand ni où ça va tomber. Héhéhé. N'empèche ça fait du bieng. Ouais, ça fait du bien. Vraiment du bien. Même si le départ vers son antre clermontoise a été aussi rapide que son arrivée dans ma vie. Sacrée toi ! Tu m'as déja marqué et j'espère que ça va continuer.
Bon, c'est fini, on n'parlera plus de la jeune fille aux mains ridées dans ce blog, à moins que, à moins que, à moins que rien. On se sort les doigts du cul, comme l'annonce la Ruda à chaque début de ses concerts.
Yoda aurait dit "Devant toi est la vie, apprenti Jedi, alors cours !". J'vais plutôt aller dormir là, High Tone commence à me bercer, ça aussi ça fait du bien. Le p'tit mec va essayer de ne pas réver de la jeune fille aux mains ridées cette nuit, même si c'est pas gagné.
Et en plus il s'en sort pas si mal, pour le moment.
Bref, ce p'tit mec là, du haut de son mètre soixante dix passé, il aurait envie de raconter une histoire à tout un tas de gens qu'il ne connaît pas, à un tas d'inconnus, comme ça. S'il avait du courage et un peu d'énergie il irait s'acheter une bouteille de vin dégueulâââsse et irait la partager avec un clodo, histoire de passer la nuit dans les rues de la ville des Sacres.
Mais bon, il reste là, le couillon !
Là et las, aussi. C'est l'ubiquité mais en différent. Il se perd dans ses mots aussi, et ça, ça va pas lui réussir ! Et puis, il hésite, il fait son p'tit timide, sa p'tite pudeur lui revient un peu au nez, comme si elle voulait lui rappeler qu'elle est là. Ce p'tit mec là, il se dit aussi qu'il a déja écrit un truc sur la jeune fille aux mains ridées et il se dit que ça serait un peu redondant d'écrire une nouvelle fois.
Mais il se laisse guider par ses sens. Et, entre vous et moi, j'pense qu'il a raison.
Ce p'tit mec se dit qu'il ferait mieux de passer outre ses souvenirs estivaux pour se jeter à pieds joints dans l'avenir, prometteur. Il se dit que ça serait bien. Mais comme il a un peu un comportement gouvernemental [comprenez "Un pas en avant, deux pas en arrière", pour ceux qui n'suivent pas], eh ben ce p'tit con il reste un peu sur place. En s'disant que ptete que la jeune fille aux mains ridées reviendra vers lui, bientôt.
A c'qu'il parait elle reviendrait pour les vacances de la Toussaint. Chouette ! M'enfin c'est loin. Roh, ta gueule toi ! Le p'tit mec, il aimerait bien qu'elle revienne. Il n'attend que ça même. Mais qu'elle revienne de où ? Ah ben oui, j'vous ai pas dit ! Vu qu'il aime bien se compliquer la vie ce p'tit mec, il a fallu qu'il tombe raide dingue d'une fille qui, en plus d'habiter à 600 bornes de chez lui, habite chez son copain ! Deubeul problem' aurait dit un anglais. Eh oui, un seul c'était pas suffisant !
C'est ça qu'est à la fois bien et moche avec la foudre, c'est qu'on peut jamais trop savoir à l'avance ni quand ni où ça va tomber. Héhéhé. N'empèche ça fait du bieng. Ouais, ça fait du bien. Vraiment du bien. Même si le départ vers son antre clermontoise a été aussi rapide que son arrivée dans ma vie. Sacrée toi ! Tu m'as déja marqué et j'espère que ça va continuer.
Bon, c'est fini, on n'parlera plus de la jeune fille aux mains ridées dans ce blog, à moins que, à moins que, à moins que rien. On se sort les doigts du cul, comme l'annonce la Ruda à chaque début de ses concerts.
Yoda aurait dit "Devant toi est la vie, apprenti Jedi, alors cours !". J'vais plutôt aller dormir là, High Tone commence à me bercer, ça aussi ça fait du bien. Le p'tit mec va essayer de ne pas réver de la jeune fille aux mains ridées cette nuit, même si c'est pas gagné.
[Le p'tit monsieur en gris, sur l'quai l'après-midi...]