C'est avec joie que je les fournirais, si toutefois je les avais. Elles sont dans le four et tardent à cuire. Faudrait pas les sortir avant qu'elles soient à point, sinon, patatra ! Catastrophe !
Y'a pas, remplir un blog quand on n'a rien à dire c'est encore mieux que l'ENA pour apprendre la langue de bois et faire passer un truc merdique pour quelque chose de sensationnel, et réciproquement, surtout quand x tend vers l'infini, le salaud !
Et sinon, vous connaissez l'histoire de l'homme sans pouce ?
Elle est comme ça.
Une blague aussi plate et redondante que cet article, mais qui a tout d'même le mérite de me faire pouffer bêtement de rire à chaque fois.
Pour passer le temps, j'parlerais bien d'une douce aprem' de juillet, au hasard, comme ça. Un lundi pour être précis. C'était bien, c'était ensoleillé [tellement que mon bras en a rougi tellement il était flatté], c'était calme, c'était doux, joyeux, insouciant, naïf, niais, cul-cul et autres adjectifs pouvant qualifier un après-midi passé dans un parc en compagnie d'une fille qui vous a fait tomber la foudre sur la tête. Vous m'direz, tant que c'est pas le ciel, c'est encore pas si grave !
L'eau passe sous les ponts, et, en attendant, j'attends patiemment. Drôle d'idée, n'est-ce pas ? Je n'y suis pas contraint, ni forcé, et ma conscience n'est plus à une connerie près dans ce domaine là, mais c'est que... enfin... voila, quoi.
Cet article aurait pu s'intituler "Pissez dans un violon et n'oubliez pas le mouchoir, pour essuyer." et j'en suis fortement désolé.