Mardi 11 septembre 2007 à 22:31

    Il était, un peu plus bas et un peu plus en arrière sur la ligne du temps, question d'explications.

    C'est avec joie que je les fournirais, si toutefois je les avais. Elles sont dans le four et tardent à cuire. Faudrait pas les sortir avant qu'elles soient à point, sinon, patatra ! Catastrophe !

    Y'a pas, remplir un blog quand on n'a rien à dire c'est encore mieux que l'ENA pour apprendre la langue de bois et faire passer un truc merdique pour quelque chose de sensationnel, et réciproquement, surtout quand x tend vers l'infini, le salaud !

    Et sinon, vous connaissez l'histoire de l'homme sans pouce ?
Elle est comme ça.

    Une blague aussi plate et redondante que cet article, mais qui a tout d'même le mérite de me faire pouffer bêtement de rire à chaque fois.

    Pour passer le temps, j'parlerais bien d'une douce aprem' de juillet, au hasard, comme ça. Un lundi pour être précis. C'était bien, c'était ensoleillé [tellement que mon bras en a rougi tellement il était flatté], c'était calme, c'était doux, joyeux, insouciant, naïf, niais, cul-cul et autres adjectifs pouvant qualifier un après-midi passé dans un parc en compagnie d'une fille qui vous a fait tomber la foudre sur la tête. Vous m'direz, tant que c'est pas le ciel, c'est encore pas si grave !
    L'eau passe sous les ponts, et, en attendant, j'attends patiemment. Drôle d'idée, n'est-ce pas ? Je n'y suis pas contraint, ni forcé, et ma conscience n'est plus à une connerie près dans ce domaine là, mais c'est que... enfin... voila, quoi.

   Cet article aurait pu s'intituler "Pissez dans un violon et n'oubliez pas le mouchoir, pour essuyer." et j'en suis fortement désolé.

Dimanche 9 septembre 2007 à 23:46

    Et puis merde, à 19 piges, on n'est pas obligés de se retrouver dans la peau d'un ado de 15 qui se retrouve tout émoustillé par la nana qu'il a croisé dans le bus.

    Foutre dieu !

    Pas obligé, non.
Ni contraint d'ailleurs.
C'aurait pu être marrant ça, d'être contraint, d'après l'adage cher à Georges Perec " De la contrainte né la liberté.".
Ouais, on peut écrire un bouquin sans la lettre "e" et avoir quelque chose dans le cibouleau !

    Allez hop, j'vous fais un p'tit constat là, vite fait, en passant derrière un buisson, un peu comme le facteur a donné naissance à ton p'tit frère.

    Y'a ce p'tit truc. Oussa ? Oussa ? En face de toi !
Ouais, un peu comme la vache enragée.
Mais nulle question de vache ni de rage, mais plutôt de sentiments un peu fleur bleue, un peu con-con. On se raccroche à ce qu'on peut, certes.
Moi c'est à l'avenir que j'me raccroche. A ce qu'il pourrait m'apporter, bientôt, ce petit espoir né un soir de juillet, en faisant fondre le plastique déja fondu d'une paille sur un doigt. Ce mini-bonheur éphémère qui tient en quelques lettres et en quelques heures.
Rien à voir avec le gosse du facteur, rassurez-vous.

    Et puis, et puis.

    C'est indéniable, je suis un faible.
Un faible qui se sort parfois les doigts du cul.
Un faible qui va aller se coucher, parce qu'à force de raconter des conneries sans queue ni tête il va tomber sur son clavier, la clope au bec et foutre le feu à l'appart'.

[Pour la cohérence du texte et les explications, vous êtes priés de repasser plus tard, si toutefois vous le voulez bien.]

Dimanche 9 septembre 2007 à 23:19

    Mouais, the first one, pour ne rien dire héhéhé.

    Vous vous y attendiez ?
Moi aussi.

    Nan en fait.
Ben voila.
Ce soir, j'me suis lancé.
C'est con, quand j'ai enfin eu envie d'ouvrir ce truc, j'avais pas mal de choses dans la tête.
Elles doivent y être toujours, mais voila, elles se sont égarées.

    Le recherche étant assez néfaste pour l'écriture, aussi bien le fond que la forme je vais devoir faire assez court.

    Le prochain sera pour je n'sais quand.
Quand j'aurais de nouveau quelque chose à dire, à écrire, un évènement surprenant, bon ou mauvais.

    Ciao.

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