Dimanche 18 novembre 2007 à 11:45

    Aaaaah ! High Tone ! J'en ai l'oreille droite qui bourdonne tellement c'était bon hier soir. Ca faisait longtemps que j'attendais de vivre ça, eh ben c'est fait !

Quel plaisir, mes aïeux ! Sentir le sol de l'Orange Bleue qui vibre sous les pieds de quelques allumés venus se réchauffer puis la grosse caisse qui monte dans la cage thoraxique et qui fait résonner tout un tas d'organes vitaux, c'est tout simplement magique. Y'a pas d'autres mots.

    Y'a rien de mieux pour le bien être de chacun que de se prendre une bonne paire de basses dans les oreilles de temps en temps, j'vous jure, vous devriez essayer, c'est fabuleux. Essayez aussi, tant que vous y êtes, l'imitation du mec désarticulé qui répond à chaque coup de grosse caisse ou frottement de corde de basse par un mouvement désordonné.

[Bonheur éphémère]

Jeudi 1er novembre 2007 à 2:14

    Un jour j'arrèterai de me perdre dans le bordel que sont les relations humaines et ça se mettra ptete enfin à couler de source. Et en même temps que ça, j'comprendrai pas mal de choses.

    En attendant j'me demande comment j'fais pour passer du tout au rien aussi vite. Une belle question que voila, n'est-il pas ? Des fois j'me demande ce que je fais aux gens pour qu'ils changent comme ça. Y'a deux jours j'étais le mec idéal et là j'me retrouve au stade de mec normal. C'est chelou tout ça.

    Pourtant cette nana est fabuleusement géniale. Y'a pas d'autres mots, même si elle le nie. J'aurais ptete pas dû m'y attacher si vite, mais le mal est fait, y'a plus qu'à prendre son mal en patience et à serrer les fesses en attendant que ça passe.

    Bref, on va s'arréter là, parce que plus ça va et plus ce blog ressemble à celui d'un ado de 15 piges qui tombe amoureux toutes les trente secondes d'une fille différente et ce rendu a la particularité fort désagréablede me répugner. Mais à quoi bon éviter ce qu'on est, ou presque ?

[Où va-t-on papa ? Je n'sais pas mais on y va !]

Samedi 27 octobre 2007 à 11:15

    Comme une envie d'écrire, un peu tout et n'importe quoi, surtout n'importe quoi d'ailleurs. Mais ça veut pas venir, pas clairement, c'est confus, c'est l'bordel ! Après une semaine aussi riche en émotions diverses et variées, ça parait normal, mais c'est relou. J'ai la vague impression d'me répéter et ça aussi c'est chiant. C'est sûrement parce qu'elle me trouble...  

[Replay]

Dimanche 21 octobre 2007 à 22:57

    Y'a des aprem' comme celui qui vient de passer on voudrait qu'ils durent une éternité. Et pourtant, les bonnes choses ont une fin, sauf l'étron qui en a deux comme dirait un très grand intellectuel. Seulement quelques heures, et bordel que c'était agréable.

    Je sais pas quand je m'arrèterai de m'émerveiller à ce point à chaque fois que je rendrai compte que le monde est à la fois immense mais également incroyablement fermé et que deux personnes peuvent avoir des connaissances communes tout en l'ignorant parfaitement. J'ai toujours trouvé ça fabuleux. Je n'sais pas pourquoi, parce que ça a quand même quelque chose d'effrayant. Mais c'est comme ça, mon état de fatigue ne me permet pas de discuter.

    Revenons-en à cet aprem' fortement agréable. Retrouver le même genre de sensations qu'il y a deux mois, dans un contexte bien différent, c'est sûr. Mais c'est comme si c'était la même. Le même émerveillement. Et puis voila quoi. C'est fou la vie !        

    J'devrais arréter d'écrire des articles fleur bleue, ça me réussit pas des masses quand j'relis. Mais bon, j'aime bien ça quand même, surtout là.

 [Explosions in the Sky]

Dimanche 21 octobre 2007 à 0:20

    Ah non, ça c'est sûr, je n'sais pas où j'vais. Mais j'y vais, droit dedans et ça m'plait. Et, pour paraphraser les paroles d'un groupe de chanson française tellement connu qu'il n'est pas nécessaire d'en mentionner le nom, eh ben...à vouloir faire une phrase à rallonge j'en oublie mes mots ! Merde alors ! C'est encore le faute de la voix de Syd Barrett ça !

    Bref, ne nous emportons pas dans des considérations musicales sinon la nuit va être courte et c'est pas comme ça que j'vais récupérer mon déficit d'heures de sommeil accumulé ces dernières semaines./

    Donc, où j'en étais ? Ah ouais, les paroles de c'te foutue chanson qui n'ont jamais autant pris leur sens pour moi. Non, putain ducon, pas de phrases à rallonge on a dit ! Mille excuses. Je vous fait des bisous doux.

[Je n'sais pas où je vais, oh ça je n'l'ai jamais bien su. Mais si jamais je le savais je crois bien que je n'irais plus.]

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