Dimanche 16 septembre 2007 à 1:47

    Tiens, voila ! Il est une heure du mat' passée, j'ai les basses d'High Tone en fond pour commencer cette nuit ou finir la journée, au choix. Bref, j'suis là, et j'me dis "Tiens, si j'rajoutais un p'tit article à la con.". L'idée n'est pas si mauvaise en soi, mais bon, v'voyez, devant la peur de la page blanche, le mec qui veut dire quelque chose mais qui sait pas par où commencer ni s'il a vraiment envie de dire tout ça, eh ben ce mec il va faire sponsoriser son article par Ikea. Entendez par là qu'il meuble.

    Et en plus il s'en sort pas si mal, pour le moment.

    Bref, ce p'tit mec là, du haut de son mètre soixante dix passé, il aurait envie de raconter une histoire à tout un tas de gens qu'il ne connaît pas, à un tas d'inconnus, comme ça. S'il avait du courage et un peu d'énergie il irait s'acheter une bouteille de vin dégueulâââsse et irait la partager avec un clodo, histoire de passer la nuit dans les rues de la ville des Sacres.

    Mais bon, il reste là, le couillon !

    Là et las, aussi. C'est l'ubiquité mais en différent. Il se perd dans ses mots aussi, et ça, ça va pas lui réussir ! Et puis, il hésite, il fait son p'tit timide, sa p'tite pudeur lui revient un peu au nez, comme si elle voulait lui rappeler qu'elle est là. Ce p'tit mec là, il se dit aussi qu'il a déja écrit un truc sur la jeune fille aux mains ridées et il se dit que ça serait un peu redondant d'écrire une nouvelle fois.

    Mais il se laisse guider par ses sens. Et, entre vous et moi, j'pense qu'il a raison.

    Ce p'tit mec se dit qu'il ferait mieux de passer outre ses souvenirs estivaux pour se jeter à pieds joints dans l'avenir, prometteur. Il se dit que ça serait bien. Mais comme il a un peu un comportement gouvernemental [comprenez "Un pas en avant, deux pas en arrière", pour ceux qui n'suivent pas], eh ben ce p'tit con il reste un peu sur place. En s'disant que ptete que la jeune fille aux mains ridées reviendra vers lui, bientôt.
A c'qu'il parait elle reviendrait pour les vacances de la Toussaint. Chouette ! M'enfin c'est loin. Roh, ta gueule toi ! Le p'tit mec, il aimerait bien qu'elle revienne. Il n'attend que ça même. Mais qu'elle revienne de où ? Ah ben oui, j'vous ai pas dit ! Vu qu'il aime bien se compliquer la vie ce p'tit mec, il a fallu qu'il tombe raide dingue d'une fille qui, en plus d'habiter à 600 bornes de chez lui, habite chez son copain ! Deubeul problem' aurait dit un anglais. Eh oui, un seul c'était pas suffisant !

    C'est ça qu'est à la fois bien et moche avec la foudre, c'est qu'on peut jamais trop savoir à l'avance ni quand ni où ça va tomber. Héhéhé. N'empèche ça fait du bieng. Ouais, ça fait du bien. Vraiment du bien. Même si le départ vers son antre clermontoise a été aussi rapide que son arrivée dans ma vie. Sacrée toi ! Tu m'as déja marqué et j'espère que ça va continuer.

    Bon, c'est fini, on n'parlera plus de la jeune fille aux mains ridées dans ce blog, à moins que, à moins que, à moins que rien. On se sort les doigts du cul, comme l'annonce la Ruda à chaque début de ses concerts.

    Yoda aurait dit "Devant toi est la vie, apprenti Jedi, alors cours !". J'vais plutôt aller dormir là, High Tone commence à me bercer, ça aussi ça fait du bien. Le p'tit mec va essayer de ne pas réver de la jeune fille aux mains ridées cette nuit, même si c'est pas gagné.

[Le p'tit monsieur en gris, sur l'quai l'après-midi...]

Vendredi 14 septembre 2007 à 10:16

    Et voila, ce truc commence à avoir de la gueule même si c'est loin d'être parfait. Mais au moins, quand on n'peut se reposer sur le fond on s'appuie sur la forme, ça fait toujours bien.
   
[Enfin j'sais pas c'que vous en pensez.]

Mardi 11 septembre 2007 à 22:31

    Il était, un peu plus bas et un peu plus en arrière sur la ligne du temps, question d'explications.

    C'est avec joie que je les fournirais, si toutefois je les avais. Elles sont dans le four et tardent à cuire. Faudrait pas les sortir avant qu'elles soient à point, sinon, patatra ! Catastrophe !

    Y'a pas, remplir un blog quand on n'a rien à dire c'est encore mieux que l'ENA pour apprendre la langue de bois et faire passer un truc merdique pour quelque chose de sensationnel, et réciproquement, surtout quand x tend vers l'infini, le salaud !

    Et sinon, vous connaissez l'histoire de l'homme sans pouce ?
Elle est comme ça.

    Une blague aussi plate et redondante que cet article, mais qui a tout d'même le mérite de me faire pouffer bêtement de rire à chaque fois.

    Pour passer le temps, j'parlerais bien d'une douce aprem' de juillet, au hasard, comme ça. Un lundi pour être précis. C'était bien, c'était ensoleillé [tellement que mon bras en a rougi tellement il était flatté], c'était calme, c'était doux, joyeux, insouciant, naïf, niais, cul-cul et autres adjectifs pouvant qualifier un après-midi passé dans un parc en compagnie d'une fille qui vous a fait tomber la foudre sur la tête. Vous m'direz, tant que c'est pas le ciel, c'est encore pas si grave !
    L'eau passe sous les ponts, et, en attendant, j'attends patiemment. Drôle d'idée, n'est-ce pas ? Je n'y suis pas contraint, ni forcé, et ma conscience n'est plus à une connerie près dans ce domaine là, mais c'est que... enfin... voila, quoi.

   Cet article aurait pu s'intituler "Pissez dans un violon et n'oubliez pas le mouchoir, pour essuyer." et j'en suis fortement désolé.

Dimanche 9 septembre 2007 à 23:46

    Et puis merde, à 19 piges, on n'est pas obligés de se retrouver dans la peau d'un ado de 15 qui se retrouve tout émoustillé par la nana qu'il a croisé dans le bus.

    Foutre dieu !

    Pas obligé, non.
Ni contraint d'ailleurs.
C'aurait pu être marrant ça, d'être contraint, d'après l'adage cher à Georges Perec " De la contrainte né la liberté.".
Ouais, on peut écrire un bouquin sans la lettre "e" et avoir quelque chose dans le cibouleau !

    Allez hop, j'vous fais un p'tit constat là, vite fait, en passant derrière un buisson, un peu comme le facteur a donné naissance à ton p'tit frère.

    Y'a ce p'tit truc. Oussa ? Oussa ? En face de toi !
Ouais, un peu comme la vache enragée.
Mais nulle question de vache ni de rage, mais plutôt de sentiments un peu fleur bleue, un peu con-con. On se raccroche à ce qu'on peut, certes.
Moi c'est à l'avenir que j'me raccroche. A ce qu'il pourrait m'apporter, bientôt, ce petit espoir né un soir de juillet, en faisant fondre le plastique déja fondu d'une paille sur un doigt. Ce mini-bonheur éphémère qui tient en quelques lettres et en quelques heures.
Rien à voir avec le gosse du facteur, rassurez-vous.

    Et puis, et puis.

    C'est indéniable, je suis un faible.
Un faible qui se sort parfois les doigts du cul.
Un faible qui va aller se coucher, parce qu'à force de raconter des conneries sans queue ni tête il va tomber sur son clavier, la clope au bec et foutre le feu à l'appart'.

[Pour la cohérence du texte et les explications, vous êtes priés de repasser plus tard, si toutefois vous le voulez bien.]

Dimanche 9 septembre 2007 à 23:19

    Mouais, the first one, pour ne rien dire héhéhé.

    Vous vous y attendiez ?
Moi aussi.

    Nan en fait.
Ben voila.
Ce soir, j'me suis lancé.
C'est con, quand j'ai enfin eu envie d'ouvrir ce truc, j'avais pas mal de choses dans la tête.
Elles doivent y être toujours, mais voila, elles se sont égarées.

    Le recherche étant assez néfaste pour l'écriture, aussi bien le fond que la forme je vais devoir faire assez court.

    Le prochain sera pour je n'sais quand.
Quand j'aurais de nouveau quelque chose à dire, à écrire, un évènement surprenant, bon ou mauvais.

    Ciao.

<< Page précédente | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | Page suivante >>

Créer un podcast