Dimanche 27 janvier 2008 à 22:59
Mercredi 23 janvier 2008 à 12:51
Comme si on
regardait un ciel d'été, parsemé d'étoiles
filantes, dans un coin de cambrousse on sait pas trop où, mais
c'est pas c'qui importe.
L'atterrissage
après Into the Wild est long, c'est renversant. J'sais pas
d'ailleurs s'il aura lieu un jour. Vaudrait mieux que non, c'est
tellement bon. En tout cas c'est pas pour tout de suite. C'est
galvanisant à souhaits. Merveilleux. Ca n'a fait que renforcer
mon envie de prendre la route avec mes deux compagnons, malgré
tout c'que ça implique comme difficultés futures si ça
se réalise.
Une envie de
road-trip, loin de tout, comme pour mieux nous rapprocher de nos
rêves sans avoir la crainte que quelqu'un les effraie et les
fasse fuir. Envie de toucher le ciel du bout des doigts, ou du moins
d'essayer.
[Peu importe où on va, l'important c'est qu'on y aille.]
Dimanche 20 janvier 2008 à 0:47
Là, il me faut pas grand chose pour m'imaginer dans un coin du Sud-Ouest, entre Toulouse et Carcassonne, avec mes deux supers potes, un soir d'été à veiller autour d'un feu de camp ou de je n'sais quoi d'autre qui peut tenir un peu chaud, le tout après une bonne journée de marche. Les Bombes 2 Bal et les Fabulous Trobadors qui jouent chez moi en fond sonore depuis hier soir ne font qu'ajouter des détails magnifiques à ce que pourrait êtrre ce tour de France pédestre de galériens.
Mais on n'y est pas encore. C'est dans six mois tout ça. Et en six mois il peut se passer des tas de trucs. Et là, magnifique, que dis-je, sensationnelle transition.
Après plusieurs conversations, j'me suis rendu compte avec plus ou moins de violence qu'en trois mois il s'était passé énormément de choses dont on n'aurait pu prévoir l'existence ou la réalisation en ces temps reculés. Trois mois, c'est pas bien long pourtant, quand on les a traversés et qu'on jette un coup d'oeil derrière l'épaule. Mais c'était condensé quoi.
Maintenant on est en janvier, faut s'y faire mon gros. Faudrait aussi prendre son courage à deux mains de temps en temps et ne point tout repousser à demain à deux mains.
Jeudi 17 janvier 2008 à 23:51
Aujourd'hui j'ai jonglé entre les différents organismes qui proposent des assurances pour le personnel paramédical en vue de mon stage printanier au laboratoire de pharmacologie. Tout ça pour finalement m'entendre dire que tout ça était couvert par ma responsabilité civile alors que la GMF prétend le contraire. En gros, tout l'monde se renvoie la baballe et la baballe c'est moi, donc c'est pas très marrant. Je sais maintenant c'que ça fait d'être une patate chaude ! Et je crois qu'en fait, à l'origine, l'expression "C'est trop d'la balle !" voulait dire exactement le contraire de ce qu'elle signifie aujourd'hui.
Aujourd'hui, en rentrant, exténué et surtout blasé par l'échec précédent, j'me suis lancé dans une mousse au chocolat, et même que ma maman elle en fait pas des aussi bonnes. C'est elle qui le dit, j'voudrais pas la contredire non plus ! Entre temps j'étais passé chercher mes deux t-shirts fraichement arrivés au bureau de Poste ce matin en provenance du bec du Goéland.
Aujourd'hui j'ai passé l'après midi à ne rien faire du tout. Comme tous les jeudis aprem', certes. Mais là c'était pire. De la glandouille de barbare !
Aujourd'hui j'ai révé d'un tour de France estival à pieds avec mes deux potes en dégustant avec eux une pizza assortie d'une bonne bière bien fraîche, parce qu'il faut quand même se faire plaisir. Et ça, ça n'a pas d'prix ! Il ne me reste qu'à prier toutes les divinités, quitte à en inventer quelques-unes, pour que mon compte en banque ne fasse pas trop la gueule d'ici là, ce qui n'est pas franchement garanti.
Aujourd'hui je n'ai pas regardé une seule fois les cours qui tapissent le sol de ma chambre relatant l'histoire de signaux électriques en tous genres. Plutôt embétant pour les deux derniers partiels de demain aprem'.
Aujourd'hui j'ai écrit un article qui se voulait drôle au début mais qui s'est un peu perdu en chemin à mon humble avis. Mais on n'se refait pas !
Aujourd'hui je vais aller me jeter dans les bras d'Henning Mankell, mon romancier suédois préféré. D'un autre côté c'est le seul que je connaisse, mais il faut avouer qu'il est bon. Un peu comme sont les basses de Kaly Live Dub qui résonnent actuellement dans mes cages à miel.
Dimanche 13 janvier 2008 à 22:27
Y'a encore du boulot, mais j'ai la semaine pour travailler tout ça et mettre le paquet pour avoir un quelconque espoir de valider ce troisième semestre bien mal embarqué. Wouhou !