Alors on fait comme si on n'y était jamais allés, comme si ce soir de fête était nouveau. Et, paradoxalement, il l'est. Parce que c'est déja loin tout ça. On se rejoue cette comptine d'été n°2, en croyant dur comme fer qu'elle sera meilleure que la n°1. On regarde par la fenêtre, on dirait que c'est l'été. Il fait -5°C, les voitures sont gelées, mais c'est l'été quand même. Là, tout au fond, ouais, c'est l'été !
[Alors je lève mon verre à ton étoile.]