Peut-être parce que dans un mois on sera en Croatie et qu'à part un maigre point de chute à Zagreb on n'avait pas grand chose à se mettre sous la dent. Maintenant, grâce à cette énergie venue d'ailleurs, on en a un second. Il n'en manquerait plus qu'un à Zadar et on pourrait dire que le tour est joué. Ou presque, ne nous emballons pas !
J'ai aussi réussi à dégoter un hôtel super pas cher à Bordeaux, dans le même aprem'. Trois jours avant mon départ, oui, ça a quelque chose d'un exploit. Bon évidemment, pour une piaule à 20€ j'attends pas autre chose qu'un confort spartiate, mais tu m'diras, c'est déja mieux que rien pour commencer.
Oui, voila, je m'aime, et même follement. Juste pour cette chance, ce truc incroyable qui fait que j'arrive plus ou moins à m'en sortir. Jusqu'à maintenant, du moins.
Ca a l'air d'être la guerre dehors, je n'sais pas laquelle, ça c'est à vous d'me le dire. Et les langues se mélangent tellement dans ma tête que si quelqu'un me posait une question en anglais je serais capable de lui répondre correctement en espagnol. Mais là, y'a aucune raison pour qu'un anglais me pose une question. En parlant d'anglais, j'espère sans trop y croire que les croates n'ont pas un accent trop pourri, parce que sinon ça risque d'être vachement drôle sinon épique !
[J'avais un truc à écrire là, mais je l'ai oublié.]