Pour le moment, le baobab que j'ai dans la main n'est pas aussi que le sont les dreads d'un des deux guitaristes d'Israel Vibration, donc j'dirais que c'est pas trop grave. Guitariste auquel j'ai serré la pogne accompagnée d'un sourire aux lèvres qui balbutiaient un grand "Merci !" et d'un regard admiratif pour ces papys du reggae jamaïcain qui, arrivés à la soixantaine bien tapée, dansent et font danser pendant presque deux heures une foule endiablée et plus transpirante qu'un jour de canicule. C'est ça qu'est bon mes amis !
D'ailleurs, celle de cette année se fait attendre. Quand j'pense qu'il y a un an, jour pour jour, on bronzait la tronche en plein soleil sur les hauteurs de Montmartre, ça m'fait tout bizarre. C'était aussi le jour, ou plutôt la nuit de la découverte du Palais de Tokyo, by night, of course ! Un squat géant, répondant à la règle des trois B : Bière, Beuh, Bolas. Le pied total que de toucher ses rêves du bout des doigts, puis s'en éloigner en les ayant toujours en tête, à la puissance 4 !
[Dis, est-ce que tu rêves encore ?]