Jeudi 6 décembre 2007 à 21:31

    Amoureux de cette odeur qui ce matin encore faisait chavirer mon esprit en plein cours d'élec' d'instru'. Gaaaaaah. Un parfum qui rend fou. La même odeur que dans mon rêve de la nuit dernière. Sauf que c'était pas la même personne. C'est con ça. J'vais éviter d'me mettre derrière truc qui a le même parfum que bidule pour éviter de spleener tranquillement à 8h et quelques du mat'.

    Tout ça pour ça. C'est désolant. Pourtant, dans mon rêve c'était bien. Vachement bien même. Doux. Calme. Et puis il y avait son sourire, sa voix même. Dommage que j'me sois réveillé juste après. J'aurais bien aimé continuer à  me délecter de ce bonheur niais toute la nuit. Mais non, mon subcoscient, bien conscient d'avoir fait une connerie en m'amenant sur ce terrain dangereux, a tiré la sonnette d'alarme et hop, v'la un mec paumé dans la nuit aux environs de 2h du mat'.

    Voila, ça c'était la nuit dernière. Bon si on passait à autre chose maintenant ? Non, monsieur le subconsient ne veut pas, c'est un vrai connard ce mec !

[Prions la vache folle !]

Lundi 3 décembre 2007 à 18:36

    Je poste ça ici dans l'espoir d'être repéré par un chasseur de jeunes talents humoristiques mais je pense qu'il serait plus rentable d'aller à l'A.N.P.E. Autant pour lui que pour moi.

    Nous avons donc, une première drôlerie.

    Et une seconde, héhéhéhé.

    En esprérant que les liens fonctionnent, pour le plus grand bonheur de vos zygomatiques.

    Pour les cerveau lents qui n'volent pas haut, notez qu'il faut cliquer sur le truc écrit en gras souligné rouge pour pouvoir entendre quelque chose. Et pour les plus astucieux [les cerf-volants qui volent haut, ndla], eh bien il est possible de faire un clic droit et blabla, d'enregistrer cette merveille auditive sur votre disque dur adoré.

[Enjoy !]

Dimanche 2 décembre 2007 à 1:40

    Là où y'a des marins qui chantent les rêves qui les hantent et autres joyeusetés de la vie humaine. Bon ils pleurent aussi, mais bien fait pour leur gueule, ils avaient qu'à pas trop boire de bière et à manger un peu de frites qui sentent la morue plutôt que de croquer la fortune des prostituées d'Amsterdam, d'Hambourg ou d'ailleurs.

    Ce mec là il avait des trippes, des vraies et il chante avec et ça se sent. J'ai dû passer deux tiers de la soirée à écouter c'te chanson en boucle sans pour autant que je m'en lasse. J'me suis aussi laissé penser à l'invention du téléporteur et de la machine à remonter dans le temps, mais mes connaissances sur l'espace temps et sur le déplacement des molécules sur des centaines de kilomètres ne sont pas encore assez poussées pour ça. Et puis il faudrait faire gaffe à l'arrivée à tout remettre dans le bon ordre, sinon, catastrophe, patatra !

    C'est bien dommage tout ça, sinon j'serais pas là à écrire un texte qui, déja au bout de deux paragraphes, n'a ni queue, ni tête et encore moins de tronc. Nan, j'me serais déja téléporté là bas, loin, à l'est, là où il fait beau tous les jours. Enfin, comme le beau est une notion subjective, ça n'veut pas dire que la météo y soit tous les jours agréable. D'ailleurs en parlant d'ça, ça souffle pas mal dehors.

    Ouais donc j'serais parti à l'est, parce que ça fait toujours du bien d'se barrer. Et même si j'y suis pas physiquement, j'y suis par l'esprit, et ça c'est déja pas mal.

    Les dés sont jetés, il est temps de se dire au revoir avant que ça n'tourne au marasme complet et à une aigreur qui pointe son nez dans l'coin, alors qu'elle a rien à foutre là. Enfin si, elle a sa place, le problème c'est qu'elle a des parents qui veulent pas qu'elle sorte, alors comprenez la pauvre, elle se cogne sans cesse la tête contre la porte fermée.

    Je repars du port d'Amsterdam un peu vidé et un peu plus heureux qu'en y arrivant. Oui, Amsterdam c'est ici-même. Je suis reparti vers de nouvelles aventures avant la prochaine escale à Amsterdam. Ou ptete que ça sera à Hambourg. On s'en fout, c'est la même.

    Mais non, ici, c'est Reims couillon !

    Oh bah si on peut même plus réver hein ! Merde alors !

    D'ailleurs, réver j'y vais.

[Oh, ces cils...]

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