Lundi 28 avril 2008 à 0:49

    Juste "Waouh", parce que j'en ai déja dit beaucoup et que dans 6h j'me lève pour aller au labo. Mais j'avais quand même envie d'écrire ces deux lignes là. Juste pour montrer que.

Dimanche 27 avril 2008 à 15:30

    Les oiseaux chantent et tout va bien. J'ai la furieuse envie d'écrire quelque chose de niais. Et j'vais pas m'géner, les moments comme ça, faut en profiter, ça m'arrive pas souvent.

    Tout va bien, ouais. Malgré ma haine du genre humain qui grandit un peu plus chaque jour, j'me sens bien. Bien parce que l'échange par mails entreprit il y a peu avec une vosgienne expatriée me fait croire de nouveau en des talents cachés au sein de l'espèce humaine. L'espoir y'a rien de mieux pour vivre ! Vivre et sourire.

    Bien parce que, dans une semaine pile poil, à l'heure près, j'serai pas loin d'un train pour me ramener de Metz vers Reims. Et qui dit "ramener" dit préalablement "y aller". Y aller et y passer du temps, que je vois déja trop court, en agréable compagnie.

    Je n'sais pas de quoi sera fait l'avenir mais à l'heure actuelle c'est peut-être bien la dernière de mes préoccupations.

[S'il y a des lois on n'peut pas tout prévoir, s'il y a des routes rien ne vaut les chemins...]

Dimanche 20 avril 2008 à 21:32

    Le dépaysement y'a qu'ça de vrai. C'est en c'moment, alors qu'il touche à sa fin, que j'me rends compte que ce week-end m'a fait un bien fou, moralement parlant. Parce que physiquement il a été éprouvant et aussitôt que j'aurai fini de taper ces quelques lignes j'irai me jeter sous ma couette.

    Mais là, c'est un peu comme si j'avais redécouvert l'ailleurs que je cherche un peu perpétuellement. Un bon bol d'air, pour avoir l'esprit tranquille, avec une pincée de je-n'sais-pas-encore-quoi-mais-ça-n'saurait-tarder pour relever le goût. Dégustez, c'est prêt !

    Des souvenirs plein la tête pour pouvoir se les raconter ensuite, se les rappeler doucement au moment opportun. 'Fin voila, j'aimerais mettre des mots sur ce truc là, mais j'sais pas si c'est vraiment nécessaire.

    [C'était vachement bien. C'est tout.]

Lundi 3 mars 2008 à 0:18

    Mars pointe à peine le bout de son nez que déja c'est le bordel. C'est qu'il est terrifiant, le dieu d'la guerre !

    Nous sommes en mars, donc. J'ai vingt ans. Et je dois plus ou moins décider du contenu des quarante prochaines années de mon existence.

    J'ai l'impression d'être arrivé à un tournant de la vie, de ma vie. Ou c'est plutôt un chemin qui se divise en deux chemins. Et j'suis là, au milieu des deux, hésitant. J'ai ptete vingt ans, mais au fond de moi j'ai l'impression d'en avoir dix-sept ou dix-huit.

    D'un côté j'ai Nancy et l'ENSIC, trois ans d'études pour voir tomber trois mille euros tous les mois sur mon compte bancaire et un réel passage dans la vie d'adulte, ou plutôt dans la vie active. Mûrir, pour faire simple.

    De l'autre côté j'ai encore un peu de temps devant moi, et surtout j'pourrais continuer à courir les rues, les gares et les villes comme je l'entends, ptete bosser un peu, histoire de financer tout ça. Rester jeune, insouciant, j'm'enfoutiste comme pas deux.

    Alors on pourrait essayer d'accommoder tout ça pour que la vie future soit agréable. Mais j'ai bien peur qu'il y ait incompatibilité entre les deux chemins. L'expression "avoir le cul entre deux chaises" n'a jamais été aussi vraie et les paroles "je n'sais pas où je vais, mais si jamais je le savais, je crois bien que je n'irais plus" prennent tout leur sens.

    J'me rends compte que ça m'réussit pas trop de gamberger dans mon lit sur mon avenir alors que ça fait une heure que j'essaye de dormir. J'vais faire confiance aux basses de la planète High Tone pour trouver le sommeil, c'est encore plus fiable qu'un GPS.

[Qui vivra verra.]

Samedi 16 février 2008 à 19:40

    La pêche ou la patate, c'est comme on veut ! Mais dans ma chambre c'est plutôt un parfum de pêche qui s'est répandu. Il est arrivé, comme ça, en plein après-midi, après une rencontre faussement fortuite dans la rue.

    C'est sûr, y'a un mosellan qui va plus trop m'aimer du coup ! Mais pour le peu que j'le connaissais auparavant, ça vaut bien la douce odeur de pêche qui claironne dans ma chambre à l'heure actuelle ainsi que les nombreuses interrogations sur le monstre du Loch Ness, j'en passe et des meilleures, évidemment !

    Cet après-midi fut doublement grandiose. J'ai vraiment eu l'impression d'être un salaud envers le pauvre mosellan qui venait de payer sa piaule d'hôtel avec la peau de ses fesses et que ça m'a donné un p'tit goût de choses interdites, sans qu'elles le soient vraiment. J'ai rempli mon quota d'actes sadiques pour le mois. Et puis merde, on peut voir ça comme un juste retour des choses. Tout vient à point à qui sait attendre aurait dit mon ami Jean, qui s'est noyé dans une fontaine, plein de désespoir. Il avait trop attendu, probablement.

    Bref, revenons à nos moutons ! Le deuxième truc grandiose de cet aprem' a été de me rendre compte que je n'étais plus amoureux. Et ça, c'est tout simplement fabuleux !  Enfin, amoureux je l'étais pas vraiment avant. Juste beaucoup sous le charme de la charmante demoiselle au parfum de pêche qui en avait un plus enivrant auparavant, mais je n'pense pas que ce soit dû au changement de parfum.

[Ca sent bon ici.]

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