Lundi 25 février 2008 à 20:50

    Contraint et forcé de réouvrir le truc en plastique qui me sert de trieur pour les cours, j'suis tombé sur un charmant dessin qui doit dater deux semaines maintenant. Le but du jeu est de deviner c'que ça représente.

http://grand.gourou.nomade.free.fr/Blogounet/monstre.JPG
        Et hop, pour la route un deuxième dessin. Celui-là a été ébauché par un mosellan qui fut surnommé un jour de l'an "Fashion petit frère" par un haricot un peu bedonnant. Allez savoir pourquoi !

http://grand.gourou.nomade.free.fr/Blogounet/toinoubyfashionpetitfrere.jpg

[Dessinons, dessinons...]

Vendredi 22 février 2008 à 19:21

    Ca vous tombe dessus comme ça, comme un astéroïde lancé à pleine vitesse dans l'atmosphère. L'impact est rude, ça remue pas mal de poussières même si la taille du projectile est assez réduite. Et puis les poussières, soumises à leur poids retombent finalement et tout redevient comme avant, sauf que, maintenant, y'a un caillou plus gros que les autres.

    Forcément, un caillou comme ça, ça passe difficilement. Ca fait mal aux fesses, un peu. Enfin, c'est au coeur que les dégats se font ressentir, surtout.

    En même temps, si le p'tit gars il s'était pas écouté La déclaration de ceux qui jouent Debout sur le Zinc, ptete qu'il en serait pas là ! C'est d'sa faute tout ça !

    Tout ça pour dire qu'une certaine ambiance et une certaine idée de la vie, que j'avais y'a encore pas si longtemps, y'a un an et demi en fait, m'est revenue dans les pattes.  Ca m'manque un peu. Enfin, pas qu'un peu apparemment.

[Et là j'me sens con. Très con même.]

Samedi 16 février 2008 à 19:40

    La pêche ou la patate, c'est comme on veut ! Mais dans ma chambre c'est plutôt un parfum de pêche qui s'est répandu. Il est arrivé, comme ça, en plein après-midi, après une rencontre faussement fortuite dans la rue.

    C'est sûr, y'a un mosellan qui va plus trop m'aimer du coup ! Mais pour le peu que j'le connaissais auparavant, ça vaut bien la douce odeur de pêche qui claironne dans ma chambre à l'heure actuelle ainsi que les nombreuses interrogations sur le monstre du Loch Ness, j'en passe et des meilleures, évidemment !

    Cet après-midi fut doublement grandiose. J'ai vraiment eu l'impression d'être un salaud envers le pauvre mosellan qui venait de payer sa piaule d'hôtel avec la peau de ses fesses et que ça m'a donné un p'tit goût de choses interdites, sans qu'elles le soient vraiment. J'ai rempli mon quota d'actes sadiques pour le mois. Et puis merde, on peut voir ça comme un juste retour des choses. Tout vient à point à qui sait attendre aurait dit mon ami Jean, qui s'est noyé dans une fontaine, plein de désespoir. Il avait trop attendu, probablement.

    Bref, revenons à nos moutons ! Le deuxième truc grandiose de cet aprem' a été de me rendre compte que je n'étais plus amoureux. Et ça, c'est tout simplement fabuleux !  Enfin, amoureux je l'étais pas vraiment avant. Juste beaucoup sous le charme de la charmante demoiselle au parfum de pêche qui en avait un plus enivrant auparavant, mais je n'pense pas que ce soit dû au changement de parfum.

[Ca sent bon ici.]

Jeudi 14 février 2008 à 20:56

    La vie du p'tit Toinou est trépidante. En effet, cet aprem' j'avais rendez-vous au labo de pharmacologie pour en apprendre un peu plus sur le contenu de mon stage printanier en ces lieux. Jusque là, j'avoue que c'est pas vraiment c'qu'on peut appeler quelque chose de trépidant.

    Donc, tac-tac, j'arrive au labo, j'vais voir la secrétaire pour dire que j'suis arrivé et j'me balade un peu dans les couloirs quand on m'invite à rentrer dans le bureau parce que la réunion va commencer. J'obtempère et en rentrant dans ledit bureau je tombe nez-à-nez avec un pote de collège qui visiblement est là pour la même chose que moi ! Première surprise donc que de voir ce bonhomme dans des lieux pareils.

    Mais, comme une surprise n'arrive jamais seule, la responsable de la paillasse fait son entrée dans la pièce et se présente. Je fais pas attention à son nom sur le coup. Puis quand la personne qui nous avait réuni en ces lieux évoque mon patronyme, la dernière personne a être entrée me regarde avec un air malicieux et me dit "Héhé, tu connais ma fille." ou un truc de c'goût là.

    Après qu'un moment de panique interne tournant autour d'une question simple : "J'lui ai fait quoi à sa fille ?" se soit rapidement dispersé et voyant que j'avais pas tilté sur son nom la dame me dit "Mais si ! Charlotte ! Vous étiez au collège ensemble !" Et là, paf, la connexion a lieu avec un temps de retard.

    J'étais donc dans la même pièce qu'un ancien camarade de collège et que la mère de mon fantasme de collégien prépubère. Ca fait un choc ! Et pas qu'un petit ! J'ai encore du mal à m'en remettre.

    Le reste de la réunion a été rythmé par des initiales telles que H.P.L.C ou encore C.P.G et un tas de charabia scientifique auquel moi-même je ne comprenais pas grand chose. Ca va être une vraie partie de plaisir ce stage !

    Mais j'aime toujours autant me rappeler que le monde est petit. Ce phénomène a un côté qui m'enchante au plus haut point, sans que je puisse dire vraiment pourquoi. C'est sûrement de voir le passé rejaillir subitement aux côtés du présent un peu mou qui me fait cet effet là. Mais j'aime bien en tout cas.

[La vie est belle.]

Mardi 12 février 2008 à 16:12

De l'ami Toinou c'est l'anniversaire, il est pas centenaire, il a tout juste vingt ans.
De l'ami Toinou c'est l'anniversaire, y'a la fête à faire, l'affaire d'un moment.
Un an de plus qu'il avait l'année dernière, un an de moins que c'qu'il aura l'an prochain.
C'est pas ton anniversaire, ni le tien, ni le tien ; c'est pas ton anniversaire c'est le sien jusqu'à demain.

    Ce paragraphe est à  chantonner sur un air particulier, évidemment, qui est celui au bout du lien qui vient juste après. En fait, celui qui est là ! [Si vous n'entendez pas grand chose, c'est pas à cause de l'onanisme, il faut simplement monter le son.]

    Aujourd'hui est une bien belle journée et pas seulement parce que le ciel est tout bleu, mais vous l'aurez compris je pense, c'est aujourd'hui que j'ai vingt ans ! Youpi ! Et, comme premier cadeau, j'ai eu le relevé des notes de mon troisième semestre qui m'annonce que j'ai réalisé le semestre avec la meilleur moyenne depuis que je rôde à l'IUT. Déja, ça c'est beau ! Et du coup, les portes de Nancy me restent ouvertes pour l'année prochaine, double youpi ! Et je vais tenter de m'y engouffrer vite fait, c'est certain !

    Quiconque voudra pourrir cette journée subira les conséquences de ses actes et s'en souviendra jusqu'à sa mort, si elle n'a pas lieu aujourd'hui même ou dans la nuit.

[Joyeux anniversaire !]

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