Si le titre vous dit vaguement quelque chose mais que nous n'avez
encore pas d'images à mettre dessus, j'vous conseille d'y remédier
rapidement, tellement c'est bandant.
C'est vraiment le mot adapté. Le décollage commence doucement avec une
première partie d'Echoes au beau milieu d'éruptions volcaniques et de
vues apocalyptiques des alentours du Vésuve, puis on arrive dans les
ruines d'un amphithéâtre avec les quatre fous anglais jouant sans
public, dans un espace vide qu'ils occupent brillamment.
Après une petite dizaine de morceaux, on atterrit sur la Lune avec une
seconde partie d'Echoes, ses voix enivrantes et ses parties de synthé à faire planer un bonhomme avec du plomb dans la tête.
Fin du voyage. Bienvenue sur la planète Pink Floyd !
Vendredi 21 mars 2008 à 23:44
Vendredi 21 mars 2008 à 5:39
Il est tout frais et très adapté à ce jour si particulier. Par contre, je demande un peu de clémence pour ce qui est du niveau de drôlerie dudit truc. D'ailleurs, ça tombe bien, c'est sa fête aujourd'hui !
J'vais essayer d'aller dormir une demie-heure tout d'même, histoire de pas ressembler à un mollusque ayant croisé une nappe de pétrole lourd en arrivant en cours.
J'vais essayer d'aller dormir une demie-heure tout d'même, histoire de pas ressembler à un mollusque ayant croisé une nappe de pétrole lourd en arrivant en cours.
[C'est pas tous les jours qu'on vendrait dix seins !]
Mercredi 19 mars 2008 à 19:14
Devant le flot ralenti de paroles dénuées de sens d'un prof' de comm' en perdition, j'ai tapé la discut' avec un mec très intéressant. Dans une autre vie il aurait pu être policier belge au long nez proposant sans cesse une sucette géante à ce cher Gaston [ne voyez pas là une idée mal placée]. Bref, c'est un chic type à l'allure de discobole, si on veut bien !
C'qui est bien avec ce bonhomme c'est qu'on en fait pas l'tour en dix minutes, il faut bien plus de temps que ça pour pouvoir cerner le personnage. Après tout un tas d'interrogations j'ai compris qu'il avait aux pieds les toutes nouvelles bottes italiennes à la mode, celles avec une sorte de poignée située sur la tige, sûrement pour les accrocher un peu n'importe où, d'après moi. Arrivé à ce point là, je pense pouvoir dire haut et fort que j'ai fait un quart du tour de la question, et donc, du bonhomme !
[Ca m'botte bien ça ! ]
Dimanche 16 mars 2008 à 19:07
Les rêves d'évasions nomades, les balades de plusieurs heures dans la ville à redécouvrir des coins franchement agréables, les concerts à n'en plus pouvoir, les festivals, on met tout ça dans Les Vieilles Valises [ceci est un lien, pour les oreilles] et on r'part à la conquête du monde ! Et ptete même de l'univers ! Ouais, carrément ! Avec l'euphorie on se sent pousser des ailes et on n'a plus peur de rien ! D'ailleurs, à partir de maintenant, on parle tous avec l'assent du midi, t'as compris, cong ?
En parlant d'ça j'attends avec impatience la prog' du Metiz'Art et j'espère franchement qu'elle sera meilleure que celle de l'année dernière, histoire de pouvoir revenir fouler le plan d'eau messin avec les oreilles en extase.
Parler du Metiz'Art m'amène à une vidéo d'une importance affective inestimable, le genre de truc qui soulève les particules du souvenir à chaque visionnage. Et pour ça, ben on va aller Rue Grenelle avec Le Clandestin ! Pardon d'avance pour les casseroles dans l'public !
Je n'laisserai pas le mot d'la fin à la chanson, pas cette fois, non ! Faut pas déconner non plus, oh, cong ! J'préfère laisser parler le comique qui sommeille en moi. Ce comique dit un truc dans c'goût là...
En parlant d'ça j'attends avec impatience la prog' du Metiz'Art et j'espère franchement qu'elle sera meilleure que celle de l'année dernière, histoire de pouvoir revenir fouler le plan d'eau messin avec les oreilles en extase.
Parler du Metiz'Art m'amène à une vidéo d'une importance affective inestimable, le genre de truc qui soulève les particules du souvenir à chaque visionnage. Et pour ça, ben on va aller Rue Grenelle avec Le Clandestin ! Pardon d'avance pour les casseroles dans l'public !
Je n'laisserai pas le mot d'la fin à la chanson, pas cette fois, non ! Faut pas déconner non plus, oh, cong ! J'préfère laisser parler le comique qui sommeille en moi. Ce comique dit un truc dans c'goût là...
[Si Jésus avait été athée, on l'aurait appelé l'athée Christ !]
Lundi 3 mars 2008 à 0:18
Mars pointe à peine le bout de son nez que déja c'est le bordel. C'est qu'il est terrifiant, le dieu d'la guerre !
Nous sommes en mars, donc. J'ai vingt ans. Et je dois plus ou moins décider du contenu des quarante prochaines années de mon existence.
J'ai l'impression d'être arrivé à un tournant de la vie, de ma vie. Ou c'est plutôt un chemin qui se divise en deux chemins. Et j'suis là, au milieu des deux, hésitant. J'ai ptete vingt ans, mais au fond de moi j'ai l'impression d'en avoir dix-sept ou dix-huit.
D'un côté j'ai Nancy et l'ENSIC, trois ans d'études pour voir tomber trois mille euros tous les mois sur mon compte bancaire et un réel passage dans la vie d'adulte, ou plutôt dans la vie active. Mûrir, pour faire simple.
De l'autre côté j'ai encore un peu de temps devant moi, et surtout j'pourrais continuer à courir les rues, les gares et les villes comme je l'entends, ptete bosser un peu, histoire de financer tout ça. Rester jeune, insouciant, j'm'enfoutiste comme pas deux.
Alors on pourrait essayer d'accommoder tout ça pour que la vie future soit agréable. Mais j'ai bien peur qu'il y ait incompatibilité entre les deux chemins. L'expression "avoir le cul entre deux chaises" n'a jamais été aussi vraie et les paroles "je n'sais pas où je vais, mais si jamais je le savais, je crois bien que je n'irais plus" prennent tout leur sens.
J'me rends compte que ça m'réussit pas trop de gamberger dans mon lit sur mon avenir alors que ça fait une heure que j'essaye de dormir. J'vais faire confiance aux basses de la planète High Tone pour trouver le sommeil, c'est encore plus fiable qu'un GPS.
Nous sommes en mars, donc. J'ai vingt ans. Et je dois plus ou moins décider du contenu des quarante prochaines années de mon existence.
J'ai l'impression d'être arrivé à un tournant de la vie, de ma vie. Ou c'est plutôt un chemin qui se divise en deux chemins. Et j'suis là, au milieu des deux, hésitant. J'ai ptete vingt ans, mais au fond de moi j'ai l'impression d'en avoir dix-sept ou dix-huit.
D'un côté j'ai Nancy et l'ENSIC, trois ans d'études pour voir tomber trois mille euros tous les mois sur mon compte bancaire et un réel passage dans la vie d'adulte, ou plutôt dans la vie active. Mûrir, pour faire simple.
De l'autre côté j'ai encore un peu de temps devant moi, et surtout j'pourrais continuer à courir les rues, les gares et les villes comme je l'entends, ptete bosser un peu, histoire de financer tout ça. Rester jeune, insouciant, j'm'enfoutiste comme pas deux.
Alors on pourrait essayer d'accommoder tout ça pour que la vie future soit agréable. Mais j'ai bien peur qu'il y ait incompatibilité entre les deux chemins. L'expression "avoir le cul entre deux chaises" n'a jamais été aussi vraie et les paroles "je n'sais pas où je vais, mais si jamais je le savais, je crois bien que je n'irais plus" prennent tout leur sens.
J'me rends compte que ça m'réussit pas trop de gamberger dans mon lit sur mon avenir alors que ça fait une heure que j'essaye de dormir. J'vais faire confiance aux basses de la planète High Tone pour trouver le sommeil, c'est encore plus fiable qu'un GPS.
[Qui vivra verra.]